A l’heure du tout numérique et d’internet, certains phénomènes sociaux parasites et malsains en ont profité pour se développer. La pédopornographie est de ceux la. Certaines associations travaillent d’arrache pied pour lutter contre ce fléau et dans ce domaine, il semble évident qu’une action des géants du web comme Google serait d’une aide inestimable.
Anti-pédopornographie : le combat de tous contre un fléau inacceptable
Voilà des années que la traque continue pour éradiquer la pédopornographie et pourtant ce fléau a pris une ampleur vraiment inquiétante, en particulier depuis l’incroyable développement d’internet. Le web a pris une si grande place dans notre vie, qu’il est aujourd’hui incontournable pour le meilleur, comme pour le pire.
Malheureusement, cette logique veut qu’internet soit le meilleur vecteur d’échange en matière de pédopornographie. Une association Britannique, “The Internet Watch Foundation”, lutte en permanence contre la présence d’images de ce type sur internet. D’autres organisations indépendantes sont elles aussi bien engagées dans cette bataille en ligne.
Quand Google s’en mêle !
Pour lutter efficacement contre la pédopornographie, rien de mieux que la participation active des grands acteurs d’internet : c’est ce qu’a suggéré David Cameron, le premier ministre Britannique. Aussi encourage-t-il ceux qui selon ses mots: « gagnent leur vie en écumant et en organisant le toile d’utiliser leurs extraordinaires capacités techniques pour nous débarrasser de ces images abjectes ». Google, premier géant visé par cet appel, travaille actuellement sur un projet qui permettra de lutter plus efficacement, mais surtout ensemble.
La source de ce projet, qui a nécessité 2 millions de dollars d’investissement, consiste en une énorme base de données regroupant toutes les images illicites pédopornographiques détectées. Cette base, opérationnelle d’ici 1 an, sera consultable et exploitable par tout organisme y compris les concurrents du moteur de recherche, afin d’uniformiser le combat. Par ailleurs, Google a déjà fournit une participation financière de 1,2 millions d’euros, pour encourager les recherches d’associations indépendantes.
