Sans doute inspiré par le succès retentissant des consoles rétro lancées par Nintendo, Sony se lance dans le retrograming en sortant sa première console au format mini, la PlayStation Classic. Une façon de fêter les 24 ans de la PlayStation.
Une nouvelle console qui surfe sur le retrogaming, la PlayStation Classic
Le succès du retrogaming ne semble pas se démentir, et Sony l’a bien compris. La société lance ainsi une console rétro en format mini, la PlayStation Classic, qui s’inspire donc de sa PlayStation 1. La réédition de la console laisse entrevoir une console qui possède le même design qu’à l’époque, mais 45% plus petite.
Il y a néanmoins eu des adaptions à l’époque avec la PlayStation Classic, puisque le port HDMI vient remplacer la prise péritel. La console propose une vingtaine de jeux. Parmi ceux-ci, on trouve Jumping Flash, Tekken 3, Ridge Racer ou bien encore Wild Arms, des titres qui trouveront sans aucun doute une nouvelle jeunesse.
La console PlayStation Classic sera vendue avec deux manettes première version, en l’occurrence non Dual-Shock. C’est par l’intermédiaire de câbles USB que ces dernières seront reliées à l’appareil.
Une console rétro pour Sony pour challenger Nintendo ?
Le fonctionnement de la console est des plus simples : le bouton Power sert à mettre en marche la machine ou à l’éteindre, Reset à mettre les jeux en pause. Quant au bouton Open, il permet de changer les différentes galettes virtuelles.
Et Sony l’a joué stratégique pour le lancement de sa PlayStation Classic, puisque celle-ci sera disponible à la vente le 3 décembre prochain. Cela correspond aux fêtes de fin d’années, toujours propices à l’achat de consoles, mais aussi à une date anniversaire pour Sony, puisque la première console de la firme était sortie au Japon le 3 décembre 1994.
La PlayStation Classic sera commercialisée au tarif de 99,99 euros. Avec cette mini-console rétro, Sony copie un de ses concurrents directs, à savoir Nintendo. La firme connaît un succès retentissant avec les formats miniatures de la NES et de la SNES. Reste à savoir si Microsoft s’engouffrera aussi dans la brèche…
