Un article du Vanity Fair n’a semble-t-il pas du tout plu à l’application Tinder qui l’a fait savoir, via plusieurs messages ironisant sur le manichéisme de la journaliste. L’article en question, intitulé « Tinder et l’aube de l’apocalypse de la rencontre », dans lequel la journaliste simplifie l’utilisation de Tinder au rôle d’entremetteur de rencontres sexuelles.
Tinder n’est pas seulement une application pour obtenir du sexe facile
Dans son article la journaliste Nancy Jo Sales du Vanity Fair, a raconté la vie de plusieurs utilisateurs et a fait un raccourci sur le fait qu’avec Tinder « la romance est de plus en plus balayée de l’écran ». Elle prend en exemple le cas d’Alex, un célibataire qui est parvenu à coucher avec 5 partenaires différentes la même semaine.
Tinder n’a pas apprécié que l’on fasse ce genre de raccourci sur son application qui n’est pas, selon les fondateurs, destinée à uniquement permettre des parties de jambes en l’air. Il s’agit simplement d’un usage qu’une partie des utilisateurs en fait. Tinder explique que des personnes ont vécu de belles histoires d’amour et que des mariages ont eu lieu après une première rencontre via cette application.
Tinder a demandé à l’auteur de l’article de « parler à nos utilisateurs en Chine ou en Corée du Nord qui parviennent à rencontrer du monde même si Facebook est banni » ou encore « à tous ces couples – homos et hétéros – qui se sont mariés après une rencontre sur Tinder ».
L’entreprise a répondu de façon très ironique au journal Vanity Fair : « Fait peu connu : le sexe a été inventé en 2012 quand Tinder a été lancé », ajoutant « Oui, certains de nos utilisateurs – des hommes et des femmes – veulent baiser. Comme dans la vraie vie. Et cela bien avant que Tinder n’ait été créée. Mais nous savons, d’après nos données, qu’il ne s’agit qu’une minorité ».
