Compilation du noyau
Nous avons parlé des processus noyau au début de l’article. Si vous souhaitez optimiser cette partie, il vous faudra compiler votre noyau.

Processus Linux
La compilation du noyau en elle même n’est pas très difficile, ce ne sont que quelques lignes de commande. C’est surtout la configuration du noyau qui est délicate. Nous n’allons pas entrer dans les détails, il existe de nombreux sites qui traitent du sujet, en voici deux pour vous aider dans cette démarche :
Dans la même optique, voici un article très sympa que vous pouvez découvrir sur le site de Trustomne : Alléger son “initrd”.
Pour conclure :
Quel plaisir d’avoir un système qui répond de suite à la première sollicitation, qui n’est pas englué par une multitude de processus et qui dès le départ s’octroie 250 Mo de RAM sans avoir ouvert un seul logiciel pour travailler. C’est tout l’art et la manière d’optimiser votre système comme le font les équipes de Formule 1, l’optimisation est un sujet passionnant et sans limite… à suivre.
Remerciement à KewlCat qui a eu la gentillesse d’intervenir sur cet article.
Article sous copyleft (version originale)
Dernière mise à jour le 2 décembre 2018